Cigarette électronique, psychose et désinformation
L’affaire n’est pas sans rappeler celle qui avait suivi la parution de l’étude de 60 millions de consommateurs en août 2013. Elle s’intitulait alors « pas si inoffensive, la cigarette électronique! ». Il s’agit aujourd’hui d’une étude japonaise, parue le 28 octobre dernier, et plus précisément du traitement médiatique qu’il en est fait.
L’étude dirigée par Naoki Kunugita soulignerait la présence plus élevées de certaines substances cancérigènes dans la cigarette électronique que dans la cigarette traditionnelle. Les substances concernées sont l’acroléine, le glyoxal (ou éthanedial), le méthylglyoxal, l’acétaldéhyde (ou éthanal) et le formol (une substance favorisant les cancers). C’est en tout cas l’information que ce sont empressés de reprendre une large partie des médias, usant de formules chocs telle que :
- « La cigarette électronique : plus ou moins cancérigène que la vraie ? » (France soir)
- « Cigarette électronique. Certaines substances 10 fois plus cancérigènes que le tabac» (Ouest France)
- « Les cigarettes électroniques parfois plus cancérigènes que le tabac » (Midi Libre)
Il est frappant d’observer avec quelle rapidité la moindre information questionnant la cigarette électronique est relayée dans la presse, alors que beaucoup, et celle-ci en particulier, nécessiteraient davantage de patience et de recul. En effet, il s’agissait là d’un document brut, sans réelles conclusions. La FIVAPE (Fédération interprofessionnelle de la vape) avait d’ailleurs publié un communiqué très documenté s’insurgeant que l’Agence France Presse ait pu relayer cette information qualifiée de « contre-vérité »
Le docteur Philippe Presles, tabacologue et spécialiste français à lui aussi réagit : « Certains journalistes ont repris un chiffre non publié à propos d’un modèle d’e-cigarette. L’auteur n’a pas eu le temps de vérifier et de chercher l’anomalie expliquant ce taux anormal. » Il s’inquiète davantage du manque de recul des journalistes et de la mauvaise image de la cigarette électronique résultant de toutes ces rumeurs.
Car c’est bien de ça qu’il s’agit. Il est normal d’être prudent et de chercher à éclairer sur tous les composants de la e-cigarette, mais il semble injuste de la ramener continuellement au même plan que le tabac quand il avéré qu’elle est bien moins nocive.
je fais de l,EMPHYSÈME et de la bronchite chronique diagnostiqué par un pneumologue de l’hôpital Laval de Québec. J’ai 70 ans. J’ai essayée les produits pharmaceutiques pour cesser de fumer ils m’ont tous donnés des effets secondaires. Les timbres me faisaient des grosses plaques de brulures rouges, les pilules augmentait ma tension artérielle ,des maux de tête et des nausées. Je devais cesser les produits et je recommençais à fumer. Chaque matin je mouchais des sécrétions épaisses vertes et beaucoup de difficulter à respirer.Il y a 2 ans j’ai essayer la e-cigarette. Depuis 1 an je ne mouche plus aucune sécrétions vertes Je n’ai eu aucun effet secondaire. Je ne pense plus à fumer,je ne suis plus capable de sentir la tabac tellement cela sent mauvais. Je respire beaucoup mieux. Je suis vraiment contente de ne plus fumer, mon appartement mon linge, ma peau mes cheveux mes amis son maintenant de venir chez moi sans cette senteur de tabac. Depuis plusieurs années je voulais cesser de fumer. Tout l’argent que j’ai dépensé 50 ans est considérable. Je me sens libérée je n’ai plus peur d’aller dans un endroit interdit de fumer car avec la e-cigarette je n’ai plus cette obsession de peur d’en manquer. La MPOC NE PEUT se guérir mais je vais beaucoup mieux physiquement, mentalement,et monétairement. La e-cigarettes me coute environ entre 25. et 30.$ par mois. Surtout je ne suis plus rejetée par mon entourage à cause de la senteur. Vous pouvez regarder ma page Facebook au nom de Nicole Tremblay dans laquelle j’ai donnée mon opinion suite à un reportage Bien à vous Nicole Tremblay